Devenir freelance en 2025 : guide complet pour se lancer sereinement

Il est temps de se pencher davantage sur la question. Quels sont les métiers phares en freelance ? Quel taux journalier moyen (TJM) espérer facturer ? Quel est le salaire médian des freelances en France ? On vous dit tout dans cet article.

Qu’est ce qu’un freelance ? 

Le terme "freelance" est utilisé de manière générique. Il définit en fait tout travailleur indépendant, quel que soit son statut (micro entrepreneur, président de SASU, etc.). Autrement dit, c’est une personne qui propose ses services (graphisme, développement web, stratégie marketing, etc.) en échange d’une rémunération ponctuelle.

Le freelance est seul décideur de l’évolution de sa vie professionnelle (validation de clients, prestations proposées, choix stratégiques, etc.). Ce statut s’oppose par définition à celui de salarié en CDI (donc d’une personne qui a signé un contrat et qui est intégrée dans une entreprise).

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Pourquoi devenir freelance en 2025 ?

Fuir la rate race 

En 2025, le freelancing s’impose comme une alternative solide au salariat et à ce que certains appellent la rat race. Autrement dit ? C’est un concept utilisé comme une métaphore pour désigner l'archétype de la vie d'un employé (le fameux métro boulot dodo) essayant de travailler toujours plus pour s'offrir une vie meilleure. Plus généralement, la rat race est souvent associée au manque de liberté et au fait d’être salarié, avec les obligations que cela implique (aller au bureau, travailler pour quelqu’un, négocier son augmentation, etc.). 

Une quête de liberté 

Plusieurs raisons expliquent l’engouement du statut de freelance :

• Une quête de liberté et d’indépendance accrue

• Une volonté de choisir des projets alignés avec ses valeurs

• Une diversification des opportunités de missions grâce au numérique

• Un meilleur équilibre entre vie pro et vie perso (lieu de vie, lieu de travail, transports, etc.)

Selon les dernières études, près de 20 % des actifs en France exercent désormais une activité freelance, soit à plein temps, soit en complément d’un emploi salarié.

C’est quoi le travail du freelance ?

Le freelance peut exercer une large variété de métiers (nous donnerons quelques exemples plus bas). Une chose à retenir ici, le freelance a une activité dans le domaine des services. Il ne vend donc pas un objet ou un produit physique, mais une prestation en échange d’une rémunération.

Pour l’aider à mener à bien ses missions, il peut par ailleurs s’entourer et faire appel à des prestataires externes. Ces collaborations peuvent être essentielles pour réussir dans des projets plus complexes et diversifiés.

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Quels sont les métiers les plus recherchés en freelance en 2025 ?

En 2025, les métiers freelance les plus en demande couvrent principalement les secteurs de la tech, du marketing digital, de la data, du conseil et de la finance. Voici un aperçu des profils les plus recherchés :

Tech et data

• Développeur indépendant (web, mobile, full-stack, etc.)

• Data Scientist et Data Analyst

• Expert en cybersécurité

• Architecte data et spécialiste ML Ops

• Chef de projet data

Marketing et communication

• Consultant en marketing digital

• Social media manager / Community manager

• Rédacteur web SEO, copywriter, ghostwriter

• Webdesigner et graphiste

Conseil et expertise

• Consultant en stratégie (très bien rémunéré)

• Consultant en management ou en développement commercial

• Coach en intelligence artificielle (nouveau métier en forte croissance)

• Consultant RH et en gestion de paie

Finance et gestion

• Expert-comptable indépendant

• Contrôleur de gestion

• Directeur financier à temps partiel

Autres métiers en forte demande

• Chef de projet supply chain

• Assistant virtuel

• Media buyer (expert en publicité digitale)

Quel statut juridique choisir en 2025 ?

Le choix du statut juridique dépend de vos objectifs, de vos revenus prévisionnels et de votre tolérance à l’administratif.

Voici un aperçu des options principales :

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Quelles sont les soft skills essentielles pour réussir en freelance en 2025 ?

Les soft skills essentielles pour réussir en freelance en 2025 sont :

• Adaptabilité et flexibilité : Savoir s’ajuster rapidement aux évolutions du marché, aux nouvelles technologies, aux besoins changeants des clients.

• Gestion du temps et organisation : Maîtriser la planification, prioriser les tâches et respecter les délais sont des compétences clés pour gérer plusieurs projets simultanément et rester productif.

• Communication efficace : Savoir expliquer, écouter, négocier et ajuster son discours selon l’interlocuteur est crucial pour collaborer, fidéliser ses clients.

• Résolution de problèmes et esprit critique : Être capable d’analyser une situation, de poser les bonnes questions, de prendre du recul et de proposer des solutions innovantes est un bon moyen de faire la différence.

• Collaboration et travail d’équipe : Même en freelance, la capacité à travailler avec d’autres indépendants, des équipes clientes ou des partenaires est de plus en plus valorisée, notamment avec l’essor du travail hybride et de nouvelles formes de travail (semaine de 4 jours, nomadisme digital, etc.).

• Intelligence émotionnelle et gestion du stress : Savoir gérer ses émotions, rester professionnel face aux imprévus et comprendre les besoins réels des clients sont essentiels pour bâtir des relations durables et s’adapter aux aléas du métier.

• Esprit d’initiative et autonomie : Prendre des décisions, être force de proposition et mener ses projets de bout en bout sont des qualités qui sont très recherchées chez les freelances.

Quelles sont les évolutions du marché du freelancing ?

les tendances à connaître autour du freelancing en 2025

Plusieurs tendances structurent le marché en 2025 :

• Des freelances hautement qualifiés : les indépendants ont des profils de plus en plus qualifiés. En effet, selon une étude publiée par Malt, 93% des freelances ont été salariés à temps plein par le passé. Parmi eux, 53% l’ont été pendant 7 ans ou plus… Autrement dit ? Ils se lancent en tant qu’indépendant avec une expérience et un bagage. 

• Des collaborations avec petites et grandes entreprises : les missions à distance avec des clients étrangers se multiplient. Comme le montre l’étude “Freelancing in Europe” publiée par Malt en 2022, la part des missions des freelances réalisées pour les grandes entreprises a augmenté de 73 % en France. Autrement dit ? Le recours aux freelances n’est plus réservé qu’aux startups de la tech. Tout le monde s’y met et c’est une excellente nouvelle. Cela veut dire que la demande va s’élargir (profils, compétences, expériences, etc.).

• La fin d’un positionnement souvent très généraliste : plutôt qu’un touche à tout (le fameux mouton à cinq pattes), les entreprises cherchent désormais des personnes spécialisées et expertes dans leur domaine. Vous êtes par exemple copywriter ? Spécialisez-vous sur une thématique particulière (écologie, voyage, mode, etc…) ou sur un support particulier (newsletter, articles de blog, landing page, etc.). Ce pivot s’explique simplement. Les entreprises font face à une période compliquée. Elles recherchent des talents capables de délivrer des résultats concrets. Cette tendance est particulièrement visible dans plusieurs domaines : nouvelles technologies, cybersécurité, big data, l’intelligence artificielle, etc. 

• La formation, une démarche quotidienne : le monde du travail évolue vite. Un freelance plus que n’importe quel salarié a besoin de rester compétitif, d’être à la page, de savoir utiliser les nouvelles technologies, de maîtriser les nouveaux outils. Il doit donc se former en continu (veille, conférences, échanges entre pairs, etc.). Il y a un sujet où c’est particulièrement le cas aujourd’hui  : l’IA. Un freelance qui n’a pas franchi le cap sera forcément dépassé très bientôt. Plus tôt vous enclenchez, mieux ce sera. 

• Des relations clients-freelances plus durables : pendant longtemps, les freelances étaient les fusibles de l’entreprise. Ils font désormais partie intégrante des équipes. D’un côté, les freelances cherchent à sécuriser leurs revenus. D’après l’étude Freelancing in Europe – 2024, 70% privilégient des freelances souhaitent établir des relations solides et durables avec leurs clients. De l’autre, les entreprises ont besoin de construire une relation solide et efficace (moins de temps passé sur le recrutement, une véritable intégration des talents, une co-construction des projets, etc.). 

• Une relation plus saine au travail : trop longtemps, le statut de freelance a été associé à un rythme de vie effréné. Plus de liberté oui, mais plus de gestion et contraintes à gérer aussi. Cela faisait donc au détriment d’un bon équilibre de vie. La bonne nouvelle ? C’est en train de changer. De plus en plus de freelances posent un cadre clair et sain : activité sportive régulière, semaine de 4 jours, bonne alimentation, horaires clairs (et communiqués aux clients) etc. Comme on l’entend souvent, entreprendre ce n’est pas un sprint, c’est un marathon. Cette approche est une façon d’avancer sereinement dans sa vie professionnelle. Les coworkings s’alignent d’ailleurs sur cette démarche. Ils sont de plus en plus nombreux à proposer des à-côtés (cours de sport, talks inspirants, coaching, etc.).

• La normalisation du remote : suite à la pandémie, les politiques de télétravail et de remote se sont multipliées au sein des entreprises. La façon de travailler à changé, c’est désormais devenu normal de pouvoir travailler (au moins en partie) à distance. En toute logique, cela a impacté positivement les freelances qui peuvent désormais travailler pour des clients sans parfois ne jamais se rendre dans les locaux / bureaux. Pour les entreprises, c’est une façon efficace d’aller chercher des expertises spécifiques plus facilement, qui n’auraient pas forcément été disponibles à proximité de chez eux. 

Le freelancing devient une vraie voie de carrière, avec ses codes, ses outils, ses communautés.

L’impact de la pandémie sur le freelancing en France

Il y a eu plusieurs transformations majeures, aussi bien en France qu’à l’international :

• Accélération et démocratisation du freelancing : la pandémie a d’abord provoqué une baisse d’activité au printemps 2020, mais cette chute a été moins brutale que prévu. Elle a surtout été suivie par une reprise rapide dès l’été 2020. En parallèle, le recours au télétravail s’est généralisé dans le monde de l’entreprise, rendant le travail indépendant plus accessible et attirant de nombreux nouveaux professionnels vers le freelancing, notamment ceux issus de secteurs touchés par les restrictions sanitaires.

• Changements structurels dans les entreprises : Les entreprises, face à la complexité du contexte et au flou global, ont freiné leurs recrutements (CDI, CDD, etc.) et ont privilégié les freelances pour transformer des coûts fixes en coûts variables. De plus en plus d’organisations ont référencé les plateformes de freelances comme fournisseurs officiels, facilitant l’accès à un vivier élargi de compétences.

• Spécialisation et montée des compétences numériques : certaines compétences ont été particulièrement recherchées sur les plateformes de freelance (développement web, programmation, design UX/UI, marketing digital, gestion de contenus numériques, etc.). Les entreprises ont ainsi cherché à renforcer leur présence en ligne et à accélérer leur transformation digitale, une aubaine pour les freelances spécialisés dans ces domaines.

• Croissance rapide et diversification des profils : En France, le nombre de freelances a augmenté de façon continue, pour atteindre plus de 3,3 millions en 2023, soit 300 000 de plus qu’avant la pandémie. Le freelancing attire désormais des profils variés, avec une forte représentation dans l’IT, le marketing, la communication, le design et la création de contenus. 

• Nouvelles opportunités et défis : Le marché freelance est désormais perçu comme une solution d’avenir, offrant aux professionnels plus de liberté et d’autonomie, mais aussi de nouvelles responsabilités, notamment en gestion administrative et financière. Les entreprises bénéficient d’un accès facilité à des experts sans passer par des recrutements longs, tout en profitant de l’innovation amenée par la diversité des freelances.

En résumé : la pandémie a agi comme un catalyseur : elle a accéléré l’adoption du télétravail, renforcé la flexibilité du marché du travail et démocratisé le recours aux freelances, qui jouent désormais un rôle central dans la transformation des entreprises et l’économie numérique.

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L'impact de l'IA sur le freelancing

Comme pour le salariat, l’impact de l’IA est profond. Aperçu de quelques changements majeurs :

• Automatisation et optimisation du travail : L’IA est une opportunité pour les freelances d’automatiser des tâches répétitives (rédaction, design, montage vidéo, gestion administrative, démarchage, etc.). Cela permet ainsi d’améliorer la productivité et de libérer du temps pour des missions à plus forte valeur ajoutée. Pour celles et ceux qui ont enclenché le sujet, c’est aussi un véritable avantage compétitif.

• Spécialisation accrue et montée en valeur des compétences humaines : deux tendances s’observent en parallèle. La première : le marché privilégie désormais les profils hyperspécialisés (cybersécurité, data, IA elle-même, développement web, etc.). La deuxième : les compétences humaines (créativité, stratégie, relation client, gestion de projets complexes) deviennent essentielles car elles sont difficiles à automatiser.

• Nouvelles opportunités de services : L’essor de l’IA ouvre la voie à de nouveaux métiers pour les freelances : formation à l’IA, création et optimisation de prompts, supervision et correction de contenus générés par l’IA, conseil en transformation digitale. Les freelances peuvent ainsi proposer une nouvelle offre et saisir de nouvelles opportunités.

• Adaptation et formation continue : Pour rester compétitifs, les freelances doivent investir dans la formation continue et la veille technologique. L’idée ? Suivre le rythme rapide des évolutions et intégrer les dernières innovations à leur offre. 

• Transformation des relations avec les entreprises : Les entreprises cherchent de plus en plus des freelances capables de s’intégrer rapidement à des équipes hybrides et de maîtriser les outils technologiques (IA, processus internes, etc.). Cela modifie les méthodes de recrutement et la nature des missions confiées.

En résumé : L’IA et les nouvelles technologies ne remplacent pas les freelances, mais transforment radicalement leur métier. Les indépendants qui misent sur la spécialisation, l’innovation et l’intégration intelligente de l’IA dans leurs pratiques deviennent des partenaires stratégiques pour les entreprises et bénéficient de nouvelles opportunités sur un marché en pleine mutation.

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Quel salaire peut-on espérer en freelance ? 

Les deux types de facturation

Lorsque l’on travaille en tant que freelance, il existe deux types de facturation : 

• Au temps passé : Cela fait écho au fameux TJM (Taux Journalier Moyen). Autrement dit, vous facturez un coût à la journée. Il ne vous reste alors plus qu’à estimer le nombre de jours dont vous aurez besoin pour effectuer la mission afin de pouvoir établir un devis.

• Au forfait : À l’inverse du point précédent, l’idée est ici de facturer au livrable (un document, un design, un ebook, une stratégie de funnel de mails, etc.). Le client final voit donc une enveloppe globale qui lui garantit que ce dont il a besoin sera réalisé. L’enjeu pour le freelance est de prévoir de manière juste le temps dont il aura besoin réellement afin de facturer un forfait cohérent.

Bon à savoir :Ce que l’on constate, c’est que souvent un freelance qui démarre se lance avec un format de facturation au temps passé. Il reste ainsi flexible et peut ajuster la facturation si la mission se prolonge. Le choix de facturation peut également dépendre du métier et du type de prestation.

Zoom sur la notion de TJM 

Le Taux Journalier Moyen est généralement exprimé hors taxe.

C’est à partir de ce TJM que le freelance va pouvoir estimer son revenu mensuel. Il pourra ainsi ajuster les paramètres afin de viser la rémunération souhaitée (travailler plus ou moins, maintenir son taux ou l’augmenter, faire évoluer ses prestations, etc.).

Bon à savoir :  Il existe également un équivalent du TJM, c’est le THM. Vous avez probablement deviné ? Il s’agit du Taux Horaire Moyen (THM). Pour le calculer, il suffit de diviser le TJM par le nombre moyen d’heures travaillées par jour. Ce type de facturation est par exemple souvent utilisé pour du coaching.

Le baromètre des salaires en freelance

Pour vous donner un aperçu du marché, nous avons choisi de regarder l’étude partagée par Malt, une marketplace incontournable dans l’univers du freelancing. En d’autres mots, c’est une plateforme qui permet la mise en relation entre professionnels et freelances dans le but de réaliser une mission / prestation. La plateforme affiche aujourd’hui une communauté de plus de 441 998 professionnels. Elle permet donc d’avoir une très bonne vision du freelancing et des niveaux de rémunération / de facturation pratiqués selon les métiers.

Zoom sur la rémunération moyenne des 9 types de freelances sur Malt : 

• Administrateur système & DBA : 566€

• Chefs de projets et Coach agiles : 695€

• Consultants en communication, stratégie et business developers : 781€

• Développeurs : 570€

• Consultant webmarketing, marketing, analytics : 607€

• Graphistes et photographes : 412€

• Motion designers et réalisateurs : 451€

• Rédacteurs & community managers : 441€

Bon à savoir :  Ces informations permettent de se projeter sur la rémunération de chaque profil. C’est en revanche une donnée qui reste à prendre avec du recul. Il existe également beaucoup de freelances qui travaillent en direct avec leurs clients ou en passant par d'autres plateformes. Pour chaque métier, ces données peuvent donc aller légèrement à la hausse comme à la baisse. Par ailleurs, il est important de noter que l’on fait référence ici au TJM moyen, donc au prix facturé à la journée. Cela ne correspond pas au bénéfice final et au salaire que se verse le freelance.

Quel est le salaire médian d’un freelance en 2025 ?

Le salaire net médian d’un freelance était autour de 3377€ mensuel en 2023. 

Pour la moyenne basse, elle était à 2010€ et pour les profils les plus expérimentés (donc la moyenne haute), le salaire était en moyenne de 6732 €. Notons ici que le profil “freelance” peut être en fait rattaché à différents types de statuts (auto entrepreneur, EURL, SASU, etc.). En fonction du statut choisi, les charges et façons de se verser un salaire varient (et donc la rémunération finale réelle aussi). En général, pour minimiser les charges, profiter d’un maximum de flexibilité, il est conseillé de privilégier la micro entrepreneur pour tout entrepreneur qui facture pour moins de 70.000€ annuels.

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Comment trouver ses premières missions ?

C’est souvent l’étape la plus redoutée, surtout quand on débute. Voici les leviers à activer :

• Votre réseau : anciens collègues, amis, clients potentiels

• Plateformes freelances : Malt, ComeUp, Crème de la Crème, Fiverr, Upwork…

• LinkedIn : optimisez votre profil et soyez actif

• Groupes Slack/Discord/Facebook dédiés à votre niche

• Prospection directe : mails personnalisés, appels, événements pro

• Coworking : prendre un bureau c’est aussi s’offrir la possibilité de rencontrer des pairs et des clients potentiels

Astuce : créez un portfolio (même fictif au début) pour montrer vos compétences.

Qui peut devenir freelance ? 

Tout le monde. Il n’y a pas de prérequis avec une certaine expérience ou un profil type. Aujourd’hui, toute personne qui a envie de proposer ses services peut se lancer en tant que freelance.

En revanche, c’est à chacun de développer son réseau, définir ses prestations, vendre ses services, suivre l’évolution de ses revenus… En d’autres mots, c’est une démarche en théorie accessible à tous. Ensuite, c’est à chaque freelance de faire en sorte que son activité soit viable et lui permette de vivre comme il le souhaite.